Le fabricant de Québec s’est taillé une place de choix depuis une douzaine d’années, mais ne s’assoit pas sur ses lauriers. Pour la première fois de son histoire, il a fait une incursion dans le marché européen en entrant par la grande porte du salon Eurobike.
Il n’y est pas allé les mains vides, à ce grand rendez-vous de l’industrie, en emportant dans ses bagages pas moins de quatre nouveaux modèles : un de route, un autre de gravelle et deux vélos de montagne (enduro et trail). Ils sont tous à assistance électrique, et pas n’importe laquelle. Ils viennent avec le moteur Bikedrive Air de Maxon, qui a le mérite d’être à la fois discret, ultra compact et léger.
« On estime que 80 % des gens hésitent à acheter un vélo de montagne à assistance électrique en raison du poids trop important d’une telle monture, explique Dominique Faure, le père des Spherik. Nos vélos se comportent comme des vélos traditionnels, avec un moteur en plus. On peut bien sûr pédaler sans l’aide de la motorisation. » Tous ces modèles, plus un all-mountain, seront disponibles dès le printemps 2024.