En août prochain, Vélo Mag s’alignera sur la ligne de départ de la 46e édition de la Mount Washington Auto Road Bicycle Hillclimb (MWARBH).
Voici trois bonnes raisons qui expliquent pourquoi des centaines de cyclistes, dont plusieurs du Québec, se lancent annuellement le défi de grimper la plus haute montagne du nord-est des États-Unis.
1— Une occasion unique
Pour pédaler sur la route du mont Washington, pas le choix : il faut s’inscrire à la MWARBH. Avec la sortie d’entraînement qui la précède en juillet, la course est le seul moment de l’année pendant lequel les cyclistes sont autorisés à l’emprunter. Le reste du temps, seules les automobiles y sont tolérées — de là l’autocollant racoleur qui orne certains pare-chocs.
2— Un défi d’envergure
La route du mont Washington est l’une des plus dures à grimper en Amérique du Nord. Bien que relativement courte (12,2 km), elle affiche une inclinaison moyenne de 12 %, avec des bouts à plus de 20 %. Certains la comparent d’ailleurs à la mythique ascension de l'Alpe d’Huez, c’est tout dire.
3— Une riche histoire
De grands noms ont pris part à cette course non sanctionnée par USA Cycling. Parmi ceux qui retiennent l’attention, on retient les détenteurs officiels du record masculin et féminin, Tom Danielson (49:24, 2002) et Jeannie Longo (58:14, 2000). Les Québécois ne sont pas en reste; le bruit court entre les branches qu’un certain détenteur du record de l’heure chez les 80-84 ans compte participer à l’édition 2018 de la MWARBH…
Photo : Joe Viger Photography